Malgré une part encore modeste dans le marché global (moins de 1 %), le continent africain est perçu comme « la prochaine frontière » pour les professionnels du secteur de l'art – contemporain, notamment. Guillaume Studer, lui, connaît bien cette réalité : sa galerie, implantée à Abidjan et Dubaï, sert de lien entre la Côte d'Ivoire et le monde entier. Elle semble aujourd’hui positionnée pour bénéficier d’une dynamique qu'il encourage depuis des années. Portrait.
Par Goudet Abalé
C’est avec une chaleur sincère et la courtoisie d’un patricien que le jeune entrepreneur nous ouvre les portes de l’espace qui porte son nom de famille ; un synonyme d’influence et de réussite dans le microcosme abidjanais.
Nichée au cœur de la capitale économique ivoirienne, à deux pas de l’ancienne villa Mobutu et à quelques minutes de l’hôtel Ivoire, la Galerie Studer a su se faire une place sur le marché – pourtant fermé – de l’art contemporain. Et ce, malgré sa relative jeunesse : créée physiquement en 2019, elle était dirigée jusqu’à peu par deux associés de moins de 30 ans.
Sa recette ? S’affranchir des conventions pour présenter des œuvres du monde entier. De JonOne et Mr Brainwash des États-Unis ...
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