De plus en plus impliquées dans des engagements contractuels, notamment avec les investisseurs lors des levées de fonds, les jeunes pousses du continent rechignent encore trop souvent à utiliser les services de conseil juridique. Une réalité peu satisfaisante que Sonia Mavouna, fondatrice de la legaltech African Legal Factory, ambitionne de changer grâce au numérique. Entretien.
Par Szymon Jagiello
Forbes Afrique : Votre structure est ce qu’on appelle une legaltech. Pourriez-vous nous expliquer en quoi cela consiste exactement ?
Sonia Mavouna : Une legaltech est une entreprise qui fait usage de la technologie pour développer, proposer, fournir ou permettre l'accès des justiciables ou des professionnels du droit à des services facilitant l’accès au droit et à la justice. Co...
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