Le pointillisme, ou divisionnisme, mouvement néo-impressionniste initié par Georges Seurat et Paul Signac, trouve aujourd’hui une nouvelle incarnation à travers le travail audacieux de Célia Agboloto, alias Malice Point. Artiste autodidacte d’origine martiniquaise et togolaise, elle réinvente cette technique à travers des portraits vibrants. À la croisée de l’art et de l’engagement, Malice Point insuffle une énergie nouvelle au pointillisme, tout en honorant l’héritage de ses grands prédécesseurs. C’est ce qu’elle nous explique dans cet entretien.
Propos recueillis par Christian Missia Dio
Forbes Afrique : Au début, vous réalisiez des portraits de personnalités, mais depuis peu, vous vous concentrez surtout sur des portraits d’enfants. Pourquoi ce changement ?
Malice Point : En 2021, j’ai eu l’occasion de voyager au Mozambique et en Afrique du Sud. Tout a commencé grâce à un ami qui vit et travaille au Mozambique, que j’avais initialement rencontré au Brésil. Très engagé dans les associations, il travaillait notamment avec des enfants des rues, organisant des ateliers centrés sur la récupération et le réemploi des déchets. Ensemble, ils créaient des objets tout en partageant des m...
Le média de ceux qui construisent l'Afrique d'aujourd'hui et de demain
La suite de cet article est réservée à nos membres inscrits. Si vous n'êtes pas encore membre, inscrivez-vous gratuitement et sans engagement.
- Tous les articles en illimité
- Le magazine en avant-première
- Les exclusivités Abonnés
- Les archives de Forbes Afrique
Si vous êtes déjà inscrit.e, merci de vous connecter, ci-dessous.