Loin d’être harmonieuses, les actions RSE déployées en Afrique relèvent le plus souvent d’initiatives unilatérales laissées à l’appréciation des entreprises, sans implication majeure des différentes parties prenantes. Aujourd’hui à la croisée des chemins, les acteurs économiques locaux doivent pourtant relever un double défi : ne pas se retrouver exclus des nouvelles chaînes de valeur dites plus durables ou plus vertueuses, et gagner en réputation et en attractivité dans leur propre pays. La prise en compte de la bonne gouvernance et de la RSE dans leurs stratégies d’entreprise en est une condition essentielle.
Par Kokou Gamado
Amélioration de la réputation, accès à de nouveaux marchés – notamment européens –, développement de relations durables et de confiance avec les parties prenantes, contribution positive au développement durable local... : les entreprises africaines pourraient tirer de nombreux avantages d’une démarche de responsabilité sociétale des entreprises (RSE). Dans les faits pourtant, les initiatives sont encore rares, demeurant l’apanage de fondations adossées à de grands groupes. C’est le cas de la Fondation Aliou Sow, une organisation à but non lucratif créée par...
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