Indispensable à l’innovation et au développement économique, la recherche manque encore souvent de moyens et de visibilité en Afrique. De fait, les publications scientifiques issues du continent ne représentent que 3% de la production mondiale. Un constat sans fard que connaît bien Valérie Verdier, présidente de l’Institut de recherche pour le développement (IRD). Pour la dirigeante de cette institution publique française qui défend un modèle de partenariat scientifique équitable avec les pays du Sud, il faut changer de paradigme dans les collaborations scientifiques au niveau international. Entretien.
Propos recueillis par Szymon Jagiello
Forbes Afrique : Valérie Verdier, de par vos fonctions, vous connaissez parfaitement la scène scientifique africaine. Quel état des lieux faite...
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