Après avoir dirigé pendant quatre ans la filiale burkinabè de Société Générale, Harold Coffi, 51 ans, a été promu il y a deux ans à la tête de la filiale sénégalaise du groupe français. Le banquier ivoirien explique à Forbes Afrique les enjeux de la stratégie que développe cet acteur majeur du secteur bancaire sénégalais, ce au moment où le groupe Société Générale accélère son repli de plusieurs marchés africains.
Propos recueillis par Kouza Kiénou
Forbes Afrique : Deux ans après votre prise de fonction à la tête de Société Générale Sénégal (SGSN), quel bilan pouvez-vous dresser ?
Harold Coffi : Avant d’en arriver au bilan, laissez-moi mettre en évidence les éléments qui ont permis d’obtenir de bons résultats. De nos jours, pour réussir, il est, non pas utile ou nécessaire, mais obligatoire de rechercher l’adhésion massive du personnel à tous les projets que l’on mène. Et nous avons su l’obtenir. La réorganisation a permis à toutes les directions de créer des postes de managers intermédiaires, permettant de promouvoir de jeunes talents. Nous sommes fiers qu’ils aient su répondre aux attentes en assurant une activité intense, diversifiée et toujours plus proche des clients, tout en...
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